Grâce aux travaux de nombreux spécialistes sur le campus, les perspectives de réduire les risques, de détecter plus tôt et d’améliorer les traitements de cette maladie sont toujours meilleures
Le mois de la prévention du cancer du sein a pris fin avec octobre. Toutefois, à l’Université Laval, c’est à l’année que plusieurs chercheurs sont à pied d’œuvre pour mieux comprendre et traiter cette maladie dont on estime qu’elle touchera une québécoise sur huit au cours de sa vie. Parmi toutes les avancées réalisées par ces équipes chevronnées, voici 5 pistes encourageantes.