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Curiethérapie et reconstruction d’organes: deux chaires avant-gardistes renouvelées

Éric Vigneault, titulaire de la Chaire de recherche en curiethérapie par imagerie, et Lucie Germain, titulaire de la Chaire de recherche sur les organes reconstruits en laboratoire. - DANY VACHON

La Faculté de médecine de l’Université Laval et la Fondation du CHU de Québec soutiennent ces deux chaires qui contribuent au bien-être de la société

La Chaire de recherche en curiethérapie guidée par imagerie et la Chaire de recherche sur les organes reconstruits en laboratoire et leurs applications cliniques sont la source de véritables avancées médicales depuis leurs débuts. Leur renouvellement en partenariat avec la Fondation du CHU de Québec, les soutenant à hauteur de 2,4 M$, leur permettra de poursuivre leurs travaux.

Une approche thérapeutique qui a fait ses preuves
La curiethérapie, qui utilise des sources radioactives près ou dans une tumeur cancéreuse, a démontré son efficacité depuis des décennies dans le traitement de cancers, notamment celui de la prostate et ceux d'ordre gynécologique. Comme la radiation ne passe pas à travers la peau ni les organes avoisinants, cette méthode permet de traiter un cancer de façon ultra précise.

«On essaie depuis 100 ans de remplacer la curiethérapie par des technologies externes coûtant des millions de dollars et jusqu'à présent, il n'a pas encore été possible d'obtenir de meilleurs résultats que ceux atteints par la curiethérapie», lance Éric Vigneault, médecin titulaire enseignant agrégé à la Faculté de médecine et titulaire de la Chaire de recherche en curiethérapie.

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