Détail de la nouvelle

Ma thèse en 180 secondes : découvrez les lauréates de la finale facultaire

Ségolène Kedem, lauréate de la catégorie maîtrise francophone
Kelly Godbout, lauréate de la catégorie doctorat francophone
Sehrish Khan, lauréate de la catégorie doctorat anglophone

Deux étudiantes au doctorat représenteront la Faculté de médecine à la finale de l’Université Laval.

Le 5 mars dernier, 13 étudiantes et étudiants de 2e et 3e cycles se sont affrontés durant la finale facultaire du concours annuel de vulgarisation scientifique Ma thèse en 180 secondes. Alors que les secondes défilaient sous leurs yeux, les participantes et participants ont relevé le défi de présenter leur projet de recherche en 3 minutes ou moins. Nous tenons à féliciter l'ensemble de ces talents pour leur participation et leur éloquence !

Les prix suivants seront remis aux lauréates et lauréats de la journée : 

Catégorie maîtrise francophone

Ségolène Kedem – maîtrise en santé communautaire : bourse de 250 $

Catégorie doctorat francophone  

Kelly Godbout – doctorat en médecine moléculaire : bourse de 250 $

Catégorie doctorat anglophone 

Sehrish Khan – doctorat en neurosciences : bourse de 250 $ 

Prix coup de cœur du public

Sehrish Khan – doctorat en neurosciences : inscription gratuite à une formation publique d’une journée offerte par le Service de développement professionnel de l’Université Laval 

Finale ULaval

Après délibération, les juges ont sélectionné Kelly Godbout et Sehrish Khan pour représenter la Faculté de médecine durant la finale de l'Université Laval, qui se déroulera le 25 mars prochain à 12 h, à l’amphithéâtre Hydro-Québec du pavillon Alphonse-Desjardins. L’événement sera diffusé en direct sur la chaîne YouTube de la Faculté des études supérieures et postdoctorales.

Une édition bonifiée

Après avoir exécuté leurs prouesses oratoires, les étudiantes et étudiants ont pu assister à une conférence sur l’intelligence artificielle (IA) pendant la période de délibération du jury. 
Marianne Ruel, bibliothécaire spécialisée en médecine, a expliqué que l’IA n’est pas encore assez performante pour réaliser une recherche documentaire fiable, mais qu’elle peut servir à la planification de la recherche. La conférencière a également noté que les outils d’IA nécessitent une grande consommation énergétique et ont donc des impacts environnements importants à considérer.